Newsletter sociale – Janvier 2025
Actualités | 22 janvier 2025
Dispositions nouvelles ou maintenues à compter du 1er janvier 2025
Epargne salariale
Comme indiqué dans notre newsletter d’octobre 2024, les entreprises d’au moins 11 salariés qui ont réalisé pendant 3 exercices consécutifs un bénéfice net fiscal au moins égal à 1% du chiffre d’affaires doivent, au titre du 4ème exercice, s’assurer d’être couvert par un des dispositifs cités ci-dessous :
- Instaurer un dispositif de participation (formule dérogatoire ou légale) ;
- Mettre en œuvre un régime d’intéressement ;
- Abonder un plan d’épargne salarial ou de retraite (PEE, PERCO, PERECO ou PERU) ;
- Verser une prime de partage de la valeur (PPV).
A propos de la prime de partage de la valeur, son régime fiscal et social, instauré en 2023, reste inchangé jusqu’au 31 décembre 2026.
Pour aller plus loin sur ce sujet, vous pouvez retrouver notre newsletter d’octobre 2024 sur la partage de la valeur en entreprise.
Rémunération
- Titres-restaurant
Après plusieurs semaines d’incertitude, les titres-restaurant permettent à nouveau de régler toutes denrées alimentaires dans les supermarchés et autres commerces. Cette dérogation d’usage est reconduite, par un vote du Sénat en date du 14 janvier 2025, pour deux ans, soit jusqu’à fin 2026. Toutefois, une réforme du dispositif des titres-restaurant devrait être engagée dès l’été 2025.
Il est à noter que la limite d’exonération de cotisations et contributions sociales et d’impôt sur le revenu (IR) de la part patronale passe à 7,26 € en 2025. Pour rappel, pour être exonérée, la valeur du titre-restaurant doit être comprise entre 12.10 € et 14,52€, avec une contribution patronale comprise entre 50 et 60% de la valeur faciale du titre.
- Pourboires
L’exonération fiscale et sociale concernant les pourboires remis aux salariés en contact avec la clientèle n’est plus applicable à compter du 1er janvier 2025, ce dispositif n’ayant pas été reconduit à date.
- Mise à disposition d’un véhicule électrique ou d’une borne de recharge
Les modalités dérogatoires de calcul de la prise en compte dans l’assiette de cotisations sociales de l’avantage en nature que constitue la mise à disposition d’un véhicule fonctionnant exclusivement au moyen de l’énergie électrique, qui prennent fin au 31 décembre 2024, seront prolongées par le Gouvernement qui prévoit la publication d’un arrêté courant janvier sur ce sujet. Cette prolongation concerne également le régime applicable aux bornes électriques. Les plafonds des abattements applicables sont de ce fait revalorisés au 1er janvier 2025.
- Transport public en Ile de France
Concernant le tarif du forfait annuel Navigo en Ile de France, celui-ci est revalorisé à :
-
- 976,80 € pour un forfait toutes zones
- 910,80 € pour les zones 2-3
- 886,60 € pour les zones 3-4
- 864,60 € pour les zones 4-5
Contrat d’apprentissage et de professionnalisation
L’aide exceptionnelle aux entreprises recourant à l’apprentissage est reconduite par un décret à venir en janvier 2025, avec les montants suivants :
- 6 000 € lorsque les apprentis sont en situation de handicap, cumulables avec les autres aides spécifiques,
- 5 000 € pour les entreprises de moins de 250 salariés (la première année du contrat),
- 2 000 € pour les entreprises de 250 salariés et plus.
L’aide concerne chaque contrat d’apprentissage conclu dès le lendemain de la publication du décret (courant janvier 2025) préparant à tout diplôme ou titre professionnel jusqu’au niveau master.
Par ailleurs, comme l’indique le ministère du Travail, dans l’attente de la publication du décret, pour tous les contrats d’apprentissage conclus à partir du 1er janvier 2025, une aide de 6 000 € maximum est accordée pour la première année d’exécution du contrat pour la préparation d’un titre ou diplôme jusqu’au niveau baccalauréat (bac+2 pour les Outre-mer), uniquement pour les entreprises de moins de 250 salariés. Il à noter que les emplois francs, autres types de contrat aidé, ont pris fin au 31 décembre 2024.
Rupture du contrat de travail
L’avenant n° 9 du 22 novembre 2024, prévoyant prolongation du dispositif du Contrat de Sécurisation Professionnelle (CSP) en 2025, a été agréé par un arrêté du 23 décembre 2024.
Taux AT/MP
Faute de publication des taux de cotisations AT/MP en fin d’année, les taux 2024 sont maintenus dans l’attente d’éventuelle publication à venir et, à minima, jusqu’au 31 mars 2025.
Principaux chiffres & taux 2025
Le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance (SMIC) est maintenu à son niveau de novembre 2024, à savoir :
Taux horaire | 11,88 € |
Montant mensuel (base 151.67 heures) | 1 801,84 € |
Ce n’est pas le cas du Plafond de la Sécurité Sociale (PSS) qui est fixé comme suit pour 2025 :
Montant mensuel | 3 925 € |
Montant journalier | 216 € (soit 29 € de l’heure) |
La revalorisation du PSS a mécaniquement des conséquences sur les dispositifs dont le calcul est basé sur ce plafond.
En voici les principales incidences :
Indemnités de rupture du contrat de travail et du mandat social (cessation forcée) | Le régime fiscal et social dépend des seuils suivants en 2025 |
|
Stage | Stage de plus de 2 mois | Gratification minimale = 15% du plafond horaire de la sécurité sociale par heure de stage, soit 4,35 € (sauf dispositions conventionnelles plus favorables) |
Stage | Stage toutes durées | Exonération de cotisations à hauteur de 15% du plafond horaire de la sécurité sociale par heure de stage |
Participation et intéressement | Participation aux résultats de l’entreprise |
|
Participation intéressement | intéressement | Montant maximal des primes par bénéficiaire sur l’exercice = 75% du PASS |
Plan d’Epargne Entreprise (PEE) | Montant maximal des sommes pouvant être versées par l’entreprise | 3 fois la contribution du salarié dans la limite de 8% du PASS (3 768 €) ou 16% du PASS (7 536 €) en cas de versement unilatéral de l’employeur pour l’acquisition de titres en entreprise |
Perco et Pereco | Montant maximal pour l’entreprise de l’abondement et des versements périodiques et initiaux | 16% du PASS par bénéficiaire |
Pero | Versements obligatoires de l’employeur | Inclus dans l’enveloppe d’exonération prévue pour les contributions patronales de retraite supplémentaire, à savoir : 5% du PASS ou 5% de la rémunération, dans la limite de 5 fois le montant du PASS (soit 11 775 € au maximum) |
Pero | Versements obligatoires de l’employeur et du salariés | Non soumis à l’IR dans la limite de 8% de la rémunération annuelle brute plafonnée à 8% de 8 PASS (soit une déduction maximale de 30 144 €) |
CSG-CRDS | Déduction forfaitaire pour les frais professionnelles | Déduction de 1,75% (soit 274,75€/mois maximum) dans la limite de 4 PASS (soit 188 400€/an) |
Contributions de prévoyance ou de retraite complémentaire | Prévoyance complémentaire |
|
Contributions de prévoyance ou de retraite complémentaire | Retraite supplémentaire |
|
Chèques-vacances | Participation maximale de l’employeur | 50% ou 80% de la valeur libératoire selon la rémunération moyenne du salarié comparée au PMSS au cours des 3 derniers mois qui précèdent l’attribution.
|
Cadeaux et bons d’achat attribués par le CSE | Présomption de non-assujettissement à cotisations par salarié et par an | Dans la limite de 5% du PMSS, soit 196 € |
Frais professionnels & avantages en nature Révision des barèmes 2025
Dans une mise à jour du 26 décembre 2024, applicable au 1er janvier 2025, les dispositions concernant les avantages en nature et les frais professionnels sont précisées dans le BOSS et sont résumées ci-après.
Frais professionnels
Frais de repas
Le remboursement par l’employeur de frais de repas au salarié est exonéré de cotisations sociales lorsque ce salarié est :
- Contraint de prendre son repas au restaurant ;
- En déplacement professionnel ou sur un chantier ;
- Ou contraint de prendre ses repas sur son lieu de travail en raison de conditions particulières d’organisation ou d’horaires de travail (travail en équipe, posté, continu, en horaire décalé, de nuit).
L’indemnisation des frais professionnels de repas peut s’effectuer sous la forme d’allocations forfaitaires ou en fonction des dépenses réellement engagées par le salarié.
Si l’employeur verse au salarié des allocations forfaitaires pour lui rembourser ses frais de repas, celles-ci sont exonérées de cotisations sociales, pour les périodes d’emploi réalisées à partir du 1er janvier 2025, dans les limites suivantes :
- 21,10 € (contre 20,70 € pour 2024) si le salarié en déplacement professionnel est contraint de prendre son repas au restaurant ;
- 10,30 € (contre 10,10 € pour 2024) si le salarié en déplacement professionnel prend son repas en dehors des locaux de l’entreprise ou sur chantier, mais pas au restaurant ;
- 7,40 € (contre 7,30 € pour 2024) si le salarié est obligé de prendre son repas sur son lieu de travail en raison de conditions particulières d’organisation ou d’horaires de travail (ex. : en cas de travail en équipe, travail posté, travail continu, travail de nuit, travail en horaire décalé).
Frais de grand déplacement en Métropole
A partir du 1er janvier 2025, les limites d’exonération des indemnités forfaitaires de grand déplacement sont fixées comme suit :
Indemnités forfaitaires de grand déplacement en métropole (repas et logement/petit déjeuner | 3 premiers mois | Du 4ème au 24ème mois inclus | Du 25ème au 72ème mois inclus |
Par repas | 21,10€ | 17,90€ | 14,80€ |
Logement et petit déjeuner dans les départements 75/92/93/94 | 75,60€ | 64,30€ | 52,90€ |
Autres départements (hors DOM-TOM) | 56,10€ | 47,10€ | 39,30€ |
Frais de mobilité professionnelle
Les frais engagés par le salarié dans le cadre d’une mobilité professionnelle sont considérés comme des charges particulières inhérentes à l’emploi. Les limites d’exonération des indemnités forfaitaires de mobilité professionnelle sont fixées comme suit :
Indemnités | Montant 2025 |
Indemnité journalière destinée à compenser les dépenses d’hébergement provisoire et les frais supplémentaires de nourriture dans l’attente d’un logement définitif dans la limite de 9 mois | 84 € par jour |
Indemnité destinée à compenser les dépenses inhérentes à l’installation dans le nouveau logement | 1 683,80€pour une personne ou un couple |
Majoration de l’indemnité d’installation par enfant à charge | 140,40€ |
Montant maximum de l’indemnité d’installation exonérée | 2 104,70€ |
Frais de déménagement | Au réel |
Mobilité internationale | Au réel |
Mobilité de la métropole vers les territoires français situés outre-mer, et inversement, ou de l’un de ces territoires vers un autre | Au réel |
Télétravail et NTIC
Les allocations forfaitaires allouées pour couvrir les frais liés au travail et aux outils issus des nouvelles technologies (NTIC) sont exonérées de cotisations sociales dans les limites suivantes :
Type de frais | Limites |
Télétravail (frais fixes et variables liés à la mise à disposition d’un local privé pour un usage professionnel, frais de matériel informatique, de connexion er de fournitures diverses) | 10,90 €/mois pour une journée de télétravail par semaine Ou 2,70 €/jour dans la limite de 59,40 €/mois |
Frais relatifs aux outils NTIC | 54,50 €/mois |
Avantages en nature
Les forfaits applicables aux avantages en nature pour le calcul des cotisations et contributions sociales au titre de l’année 2025 ont été publiés sur le site du Boss et sont résumés ci-après.
Avantage en nature nourriture
L’avantage en nature nourriture est évalué sur un système de forfait. Lorsque l’employeur fournit gratuitement les repas à ses salariés ou paie directement le repas de ses salariés au restaurateur, l’avantage est évalué forfaitairement.
Pour 2025, le montant de l’avantage en nature est fixé à 5,45€ par repas soit 10,90€ par jour (pour deux repas). Ces montants constituent une évaluation forfaitaire minimale. Une convention ou un accord collectif peut prévoir une évaluation supérieure, qui constitue la base de calcul des cotisations sociales.
Pour les salariés des hôtels, cafés, restaurants et assimilés, la valeur de l’avantage en nature nourriture reste évaluée à un minimum garanti (MG) par repas, soit 4,22€ pour un repas et 8,44€ pour deux repas par jour.
Avantage en nature logement
Lorsqu’un employeur, propriétaire ou locataire d’une habitation, la met à disposition d’un de ses salariés gratuitement, il doit évaluer un avantage en nature logement et le soumettre au paiement des cotisations de sécurité sociale. L’avantage en nature logement peut être évalué sur la base d’un forfait ou à partir de la valeur locative servant à l’établissement de la taxe d’habitation, selon l’option exercée par l’employeur.
Si l’avantage en nature logement est évalué selon le forfait, il est calculé au mois le mois en fonction de la rémunération brute mensuelle et les avantages accessoires (eau, gaz, électricité, chauffage et garage) sont compris dans le forfait. Le forfait est présenté sous forme d’un barème de 8 tranches établi en fonction des revenus du salarié et du nombre de pièces du logement.
Rémunération brute mensuelle du salarié | Avantage en nature pour un logement d’une pièce principale | Avantage en nature pour un logement de plusieurs pièces (montant par pièce) |
Inférieure à 1 962,50€ | 78,70€ | 42,10€ |
De 1 962,50 € à 2 354,99€ | 91,80€ | 58,90€ |
De 2 355,00 € à 2 747,49€ | 104,80€ | 78,70€ |
De 2 747,50 € à 3 532,49€ | 117,90€ | 98,20€ |
De 3 532,50 € à 4 317,49€ | 144,50€ | 124,50€ |
De 4 317,50 € à 5 102,49€ | 170,40€ | 150,40€ |
De 5 102,50 € à 5 887,49€ | 196,80€ | 183,30€ |
Supérieure ou égale à 5 887,50€ | 222,70€ | 209,60€ |
Frais de transport domicile/lieu de travail des salariés
- Frais de transports publics ou de services publics de locations de vélos
Il existe une obligation de remboursement des frais de transport publics supportés par le salarié pour se rendre à son lieu de travail à hauteur de 50% du coût de l’abonnement. Cette obligation concerne les abonnements souscrits par le salarié.
La loi de finances rectificative avait permis aux employeurs de porter la prise en charge des frais de transports publics à hauteur de 75%, tout en bénéficiant, pour cette prise en charge facultative supplémentaire de 50 à 75% du même régime social et fiscal que celui apporté à la part obligatoire des 50% (exonération de cotisations et d’impôts). Cette possibilité est supprimée à compter du 1ᵉʳ janvier 2025.
Les employeurs qui continueraient à rembourser les frais de transport au-delà de l’obligation légale de 50% devront réintégrer dans l’assiette fiscale la prise en charge dépassant l’obligation légale (soit 25% du remboursement en cas de remboursement des abonnements à hauteur de 75%). À noter qu’au niveau social, la prise en charge excédentaire reste exonérée de cotisations. Le bulletin officiel de la Sécurité sociale (BOSS) précise que pour les salariés résidant dans une autre région que celle où ils travaillent, leur éloignement ne doit pas résulter de convenances personnelles, et doit être justifié par des contraintes professionnelles ou familiales.
- Prime de transport
Concernant la prime de transport, la limite d’exonération avait été portée à 700€ par an et par salarié dont 400€ au titre des frais de carburant (900€ et 600€ pour les DOM). À compter de 2025, la prime de transport revient à 600€ par an et par salarié dont 300€ pour la prime de carburant. La loi de finances rectificative avait également prévu la possibilité de cumuler avec la prise en charge obligatoire des frais de transports publics. Cette possibilité de cumul est supprimée à compter du 01/01/2025.
- Cumul prime de transport et forfait mobilités durables
À compter de l’imposition des revenus de l’année 2025, l’avantage résultant de la prise en charge facultative par l’employeur des frais engagés par les salariés pour leurs trajets domicile-lieu de travail en cas de cumul d’une prime transport et du forfait mobilités durables est exonéré d’impôt sur le revenu, de cotisations sociales et de CSG-CRDS dans la limite globale de 600€ par an et par salarié (et non plus de 500€), dont 300€ (et non plus 200€) au maximum pour les frais de carburant.
- Cumul forfait mobilités durables et prise en charge obligatoire par l’employeur du coût de l’abonnement aux transports publics
À compter de l’imposition des revenus de 2025 et des cotisations sociales dues pour les périodes d’emploi à compter du 1er janvier 2025, la limite d’exonération sociale et fiscale en cas de cumul du forfait mobilités durables et de la prise en charge obligatoire par l’employeur du coût de l’abonnement aux transports publics des salariés est relevée de 800€ à 900€ (ou à hauteur du montant de la prise en charge obligatoire des frais de transports publics s’il est supérieur à 900€).
- Forfait mobilité durable
Pour le forfait mobilité durable, une limite d’exonération avait été portée à 700€ par an et par salarié (900€ pour les DOM). À compter de 2025, ce montant est ramené à 600€ par an et par salarié (pas de mesures spécifiques prévues pour les DOM).
À noter :
-
- Cumul forfait mobilité durable et prime carburant : le cumul du forfait mobilité durable était possible, sur les années 2022 à 2024, avec la prise en charge des frais de transports publics et la prime de carburant. À compter de 2025, la prise en charge des frais de transports publics ne sera plus cumulable avec la prime carburant, elle restera cumulable avec le forfait mobilité durable.
- Covoiturage avec un membre de sa famille : un récent rescrit, repris dans la mise à jour du BOSS, indique que la prise en charge facultative de l’employeur de tout ou partie des frais de covoiturage des salariés entre le domicile et le lieu de travail, en tant que conducteur ou passager, ne se limite pas au covoiturage entre salariés d’une même entreprise. Par voie de conséquence, le covoiturage entre membre de la famille est éligible au forfait mobilité durable.
Frais de financement par l’employeur d’activités physiques et sportives ou d’évènements sportifs
Pour rappel, l’avantage lié au financement par l’employeur d’activités physiques et sportives ou d’évènements sportifs, proposés par l’employeur à l’ensemble des salariés de l’entreprise (basé sur l’effectif N-1), est exclu de l’assiette des contributions et cotisations sociales pour la part qui n’excède pas un montant de 5% du PMSS pour une année civile (soit 196,25€) par salarié.
Suite à deux récents rescrits intégrés au BOSS dans sa version applicable au 1er janvier 2025, il est précisé que :
- le montant de l’avantage excédant le plafond devra être réparti entre les salariés bénéficiaires, cette répartition pouvant être effectuée par mois ou en fin d’année
- Il n’est pas possible d’exclure les intérimaires du bénéfice de l’avantage sport en entreprise dans une entreprise de travail temporaire, ceux-ci devant bénéficier des mêmes avantages que les salariés permanents.
Nous Contacter
« * » indique les champs nécessaires